Spectrophotomètre portable, Spectrophotometer atomic absorption, Lecteur de couleur, Conductometer/PH-meter, Balance électronique, Rampe de filtration, Turbidimètre, Bain Ultrasons, Bain de sable, Azote Distiller Kjeldahl automatic and manual, Oven, Vine distiller, Rampe de chauffage infrarouge, Digesteur (extracteur de solvant), Fourneau, Kjeldahl Digester (heating digester), Réfrigérateur, HPLC Dionex UltiMate 3000, Pompe à vide à diaphragme, Mélangeur pour sols et sédiments, Évaporateur rotatif, Titreur automatique, Vortex (agitateur vibreur), Agitateur magnétique, Systèmes de production d’eau, Spectrophotomètre UV-Visible, Chromatographe Ionic, Hotte, Centrifugeuse, etc.
Voilà, visiblement, des appareils et dispositifs de travail qui font du hashtag#Centre hashtag#Technique hashtag#Agroalimentaire du Cameroun (CTA-CAM), sis au quartier Bali à Douala, une unité technique capable de sortir le secteur agroalimentaire camerounais de l’ornière.
Ces équipements high tech ont été présentés aux journalistes et responsables consuméristes nationaux, le 09 janvier 2025, par le jeune cadre analyste de laboratoire, Jacques Alain Ndindjock. Au cours de la visite guidée qui a suivi la conférence de presse animée par le président du hashtag#Comité d’hashtag#orientation (PCO) dudit groupement d’Intérêt économique, Jacquis Kemleu Tchabgou, par ailleurs secrétaire général de l’hashtag#ASROC.
Ce fut l’occasion de découvrir la plus grande unité d’analyses de produits du secteur agroalimentaire de la sous-région mise en place par des particuliers avec l’appui des pouvoirs publics et ses partenaires au développement.
D’après le PCO, «le CTA-CAM œuvre à sortir des denrées non conformes du champ visuel des consommateurs». En même temps qu’il garantit la santé, il préserve l’environnement à travers la promotion d’une production agricole écologique.
En plus d’un laboratoire d’analyses microbiologiques, d’analyses physicochimiques et de caractérisations sensorielles, le CTA-CAM offre une panoplie de formations en matière de bonnes pratiques d’hygiène et de fabrication, d’évaluation et amélioration des process technologiques et de la qualité des produits, tout en assurant une veille normative, technologique et commerciale.
Au demeurant, les activités de ce 𝗴𝗿𝗼𝘂𝗽𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱’𝘂𝗻𝗲 𝗰𝗶𝗻𝗾𝘂𝗮𝗻𝘁𝗮𝗶𝗻𝗲 𝗱𝗲 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 (𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀 𝗮𝗴𝗿𝗼𝗮𝗹𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲s, 𝗰𝗵𝗮𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘂𝗹𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀, 𝗽𝗮𝘁𝗿𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗮𝘀𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻s), créé en 2016, militent à la transformation de la matière locale et de densifier le tissu industriel national.

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